Sommaire de la page :
Année 2024-2025
Olympiades Franc-aises Intelligence Artificielle
Thomas Greissler, actuellement en seconde au lycée Berlioz a brillamment représenté son établissement aux Olympiades Françaises d’Informatique et d’Intelligence Artificielle.
Intéressé depuis son plus jeune âge par le monde de l’informatique et la programmation, Thomas consacre une grande partie de mon temps libre à approfondir ses connaissances dans ce domaine. L’élève est particulièrement passionné par l’intelligence artificielle, qui est en évolution très rapide ces dernières années, et explore activement ce domaine à travers des projets personnels et des compétitions. Thomas suis notamment des parcours de formation en ligne me permettant de continuer à progresser et de me tenir au courant des toutes dernières innovations.
C’est dans ce contexte qu’au mois de mars de cette année, Thomas a présenté sa candidature aux épreuves de sélection pour les Olympiades Françaises d’Informatique et d’Intelligence Artificielle (IOAI). Cette compétition bénéficie notamment du soutien de la Direction Interministérielle du Numérique et s’adresse à tous les lycéens de moins de 20 ans. Elle poursuit trois objectifs principaux :
- Aider les jeunes à atteindre un haut niveau, à travers des défis et des formations, prodiguées par des professionnels reconnus du secteur
- Reconnaître les accomplissements, pour encourager un maximum de lycéens à s’investir dans une discipline exigeante
- Sélectionner l’équipe représentant la France aux Olympiades Internationales
Deux épreuves initiales en ligne ont été organisées en mars et avril.
Après un entretien de validation des résultats avec les organisateurs, la candidature de Thomas a été retenue pour la finale, qui a réuni 24 lycéens de toute la France dans les locaux de l’école d’Ingénieurs EPITA au Kremlin Bicêtre début mai 2025.
Ces sept jours ont pris la forme d’un stage de formation animé par des spécialistes de la matière qui a lui-même débouché sur trois épreuves autour des thèmes suivants :
- la CV (Computer Vision) : techniques permettant aux ordinateurs de « voir » et d’analyser des images et vidéos numériques à l’aide de CNNs (réseaux de neurones) par exemple ;
- le ML (Machine Learning) : méthodes permettant aux ordinateurs d’apprendre à partir de données pour faire des prédictions, comme identifier quelles personnes pourraient devenir amies sur les réseaux sociaux ;
- le NLP (Natural Language Processing) : techniques permettant aux ordinateurs de comprendre et générer du langage humain, comme les assistants virtuels ou les systèmes de traduction automatique.
La compétition a été très serrée, et Thomas a réussi à se classer 4ème. Ce résultat lui permet de faire partie de l’équipe qui représentera la France à Pékin du 2 au 8 août pour les Olympiades Internationales, aux côtés de trois autres lycéens. Pour Thomas « C’est une immense fierté pour moi, et une responsabilité que je prends très à cœur ».
Pour Thomas, il s’agit de continuer à viser l’excellence dans un domaine scientifique, et nourrit encore davantage son ambition de contribuer, un jour, aux avancées futures dans le domaine de l’IA.
A la rencontre de Lassana Bathily, modèle de courage, de solidarité et de fraternité
Mercredi 30 avril, le CVL du lycée Berlioz a invité Monsieur Bathily, employé à l’hyper casher de la Porte de Vincennes et présent lors de la prise d’otage le 09 janvier 2015.
Par son courage et son sang-froid cet homme malien, sans papier de confession musulmane protège des otages de confession juive en les cachant dans la chambre froide du magasin et aide les policiers à préparer leur assaut.
Dans ce même temps, les élèves et les personnels de la cité scolaire Berlioz sont confinés par les autorités.
Aujourd’hui, Lassana Bathily qui ne se considère pas comme un héros a présenté son parcours exemplaire de son arrivée en France a l’âge de 16 ans jusqu’au 14 juillet 2024, jour de la fête nationale au cours de laquelle Lassana Bathily a porté la flamme olympique.
Les élèves de la cité scolaire rencontreront à nouveau Lassana Bathily lors de la prochaine année scolaire dans le cadre du parcours citoyen.
Le programme mentorat au lycée Berlioz
Grâce à Mme Marchand, professeure de physique-chimie, trois élèves de 1ère générale ont rencontré leurs mentors dans le cadre d’une relation d’aide – sur la base du volontariat, entre deux personnes qui n’ont pas de lien hiérarchique ni fonctionnel, et dont l’une est plus expérimentée que l’autre.
Les mentors appartiennent toutes à l’association Women In Nuclear- WIN et portent les valeurs du mentorat: solidarité, soutien, partage, authenticité, réciprocité, humilité, bienveillance, engagement et respect de l’autre.
Un programme mentorat qui vise à promouvoir l’ambition des élèves tout en renforçant l’estime de soi des élèves.
A suivre !
Exposition « Anamorphoses, une histoire de point de vue »
A l’occasion de la semaine des maths 2025, le Café Scientifique vous propose l’exposition « Anamorphoses, une histoire de point de vue ».
Celle-ci est visible dans le hall du lycée et les escaliers. Regardez un petit aperçu.
Cette série d’anamorphoses a été réalisée avec la classe de Seconde DNL maths.
Vous souhaitez venir en réaliser d’autres avec le Café Scientifique ? Inscrivez-vous en ligne.
Rencontre citoyenne et intergénérationnelle au lycée Berlioz
Les élèves d’une classe de terminale ont eu la chance de recevoir Madame Jeannette Dreyfuss, enfant caché de 1942 à 1944.
Sous l’occupation nazie, Jeannette est une petite fille juive menacée, cachée, protégée.
Le père de Jeannette, juif polonais arrivé en France en 1925, impliqué dans la Résistance, sans doute prévenu d’une imminente arrestation massive de juifs en juillet 1942, décide de se séparer de sa femme et sa fille unique pour les protéger.
Jeannette est confiée à une nourrice, puis à partir du mois d’octobre 1942, elle est inscrite à l’Institut catholique Notre-Dame à Versailles où elle est baptisée en avril 1943.
Enfin, Jeannette rejoint sa mère, cachée en tant que gouvernante au château de Saint-Ange de Villecerf en Seine-et-Marne chez le marquis et la marquise René De Roys.
Le Marquis René De Roys étant comme le père de Jeannette un résistant de la première heure.
Le père de Jeannette avait été arrêté, assassiné par la Gestapo à Lyon en avril 1944. Le marquis est mort en déportation au camp d’Ellrich.
Jeannette explique avoir attendu 50 ans pour prendre à nouveau contact avec la famille De Roys.
Suite à la constitution d’un dossier à destination du Mémorial Yad Vashem de Jérusalem à l’attention de ses bienfaiteurs, le marquis et la marquise René De Roys ont reçu, à titre posthume la médaille des « Justes parmi les Nations » le 30 avril 2000.
Un témoignage émouvant et inspirant empreint d’empathie, de résilience et de fraternité
Action DECLICS
Ce vendredi 31 janvier 2025, une action DECLICS (Dialogues Entre Chercheurs et Lycéens pour les Intéresser à la Construction des Savoirs) a permis aux élèves de 1ère 4 et Tle 3 de rencontrer une équipe de chercheurs de Sorbonne Université. Après une présentation générale animée par une professeure des universités, chercheuse au laboratoire de biologie des organismes et des écosystèmes aquatiques , les élèves ont participé à un speed-meeting. Quatorze intervenants ont pu échanger avec nos élèves sur leur formation et les métiers dans le domaine de la recherche scientifique en biologie, géologie et astrophysique. Un ancien élève, Léo Belloir doctorant en astrophysique à l’université Paris-Saclay, faisait partie des ambassadeurs, nous étions ravis de le revoir et de découvrir son parcours !
Année 2023-2024
Les élèves 2nde7 à l’HIA Bégin
Les élèves de 2nde7 ont été accueillis par le général Hamon à l’HIA Bégin le 24 avril 2024 dans le cadre du programme de la Classe Défense Sécurité Globale.
En place d’armes, les Berlioziens ont assisté à la cérémonie des couleurs puis ont découvert les métiers du service de santé des armées à partir de conférences. Infirmier, médecin, anesthésiste-réanimateur… ont témoigné de leur parcours d’études et de leur engagement au service des militaire et des civils en France et en opérations extérieures.
Une sortie pédagogique qui permet d’enrichir le parcours avenir des élèves, de développer l’esprit et l’engagement citoyen.
Une nouvelle journée à l’HIA Bégin est programmée le 16 mai prochain afin de rencontrer de nouveaux médecins militaires, de participer à des ateliers avec des membres du service de santé des armées et de découvrir le patrimoine historique de l’hôpital militaire – site remarquable, voisin de notre cité scolaire.
Être et survivre enfant
Des témoignages émouvants pour une mémoire et une citoyenneté éclairées
Il y a déjà quelques semaines, à l’initiative de Monsieur Krouck, professeur d’histoire géographie, les élèves de trois classes de seconde ont eu la chance de rencontrer Mme Jeannette Dreyfuss et de Mme Jacqueline Zytomirski, grands-mères d’élèves de Berlioz. Les deux femmes ont partagé leurs vies d’enfants cachés durant la Seconde Guerre mondiale, où la délation pouvait les envoyer dans les camps de la mort.
Des témoignages émouvants pour une mémoire et une citoyenneté éclairées
Il y a déjà quelques semaines, à l’initiative de Monsieur Krouck, professeur d’histoire géographie, les élèves de trois classes de seconde ont eu la chance de rencontrer Mme Jeannette Dreyfuss et de Mme Jacqueline Zytomirski, grands-mères d’élèves de Berlioz. Les deux femmes ont partagé leurs vies d’enfants cachés durant la Seconde Guerre mondiale, où la délation pouvait les envoyer dans les camps de la mort.
Madame Dreyfuss (Sztrumpfman) est née dans une famille immigrée polonaise en 1936. En 1939, elle habite avec ses parents dans le vingtième arrondissement de Paris, quand la guerre éclate. Avec l’aide de son père, Simon Sztrumpfman, elle échappe à une arrestations massive de Juifs ordonnée par le pouvoir nazi, la rafle du Vel D’ hiv du 15 juillet 1942.
Alors que Jeannette n’a que 5 ans, elle quitte son appartement avec sa famille. Elle se retrouve placée chez une nourrice, à Montfermeil, sans nouvelles de ses parents. Elle se croit alors totalement abandonnée durant tout l’été 1942. Ses parents la feront rentrer en octobre dans un pensionnat à Versailles : l’institut Notre Dame. Elle change alors de nom,prend celui de son oncle par alliance et s’appelle désormais Jeannette Jouriste. Elle y est baptisée et vit dès lors dans le pensionnat, ce qui n’était normalement pas possible pour son âge, l’internat ne commençant qu’à partir de 8 ans. Elle reste donc semaines et week-end au pensionnat avec certaines institutrices.
Quelquefois, son père lui rend visite mais elle doit faire attention à ne pas l’appeler « papa », au risque de se faire démasquer. En effet, c’est lui qui avait inscrit la jeune Jeannette et l’avait présentée comme étant sa nièce. Le 6 mai 1943, elle doit se faire opérer de l’appendicite dans une clinique à Versailles. Sa mère, qui était alors cachée dans le château de Saint-Ange, à Villecerf, et sa tante viennent la chercher et l’amènent avec elles chez la famille de Roys. Pour rallier sa nouvelle cachette, elles empruntent le métro parisien avec Jeannette en poussette, et sont alors aidées par de jeunes soldats allemands pour descendre les marches de ses longs escaliers. Ceux-ci, tout joyeux, ne se rendent pas compte que les deux femmes sont terrorisées à l’idée d’être découvertes.
Jeannette reste cachée au château jusqu’à la fin de la guerre avec sa mère, surnommée Midia, gouvernante des enfants. Le Marquis de Roys lui fournit des faux papiers au nom de Georgette Marchal. Jeannette participant avec les enfants aux cours et aux jeux, elle était pratiquement « adoptée » par la famille. Pour eux, les jours s’écoulaient agréablement au château.
Le 3 août 1944, des soldats allemands se présentèrent au château. Jeannette et Béatrice, qui jouaient dans le parc, les virent arriver avec un chien. Ils demandaient le Marquis qu’ils ne purent trouver. Il était, en effet, chef de la Résistance du sud et marnais. Il recevait des armes venues d’Angleterre et avait été dénoncé. Le marquis René de Roys, malgré les avertissements, n’avait pas voulu fuir et était resté au château, prenant le risque de se faire arrêter plutôt que de faire courir un danger à sa famille et aux personnes hébergées. Le soir même, les allemands revinrent pour l’arrêter. Le Marquis de Roys fut déporté au camp de Buchenwald et meurt le 18 janvier 1945.
Lorsque les alliés libèrent la ville en 1944, Jeannette et sa mère rentrent à Paris. Malheureusement, son père, Simon Sztrumpfman, lui aussi dans la Résistance, avait été arrêté à Lyon, au printemps 1944. Il aurait été fusillé. Il est possible que le Marquis et son père se soient rencontrés en « résistance ».
Quand elles rentrent à la capitale, leur appartement ne leur appartient plus. Elles vivent donc dans un autre petit appartement jusqu’à ce que la mère de Jeannette réussisse à récupérer l’ancien. Cette histoire, Madame Dreyfuss l’a gardée pour elle pendant près de 50 ans.
Ce n’est que bien plus tard, en 1994, qu’elle retrouvera la famille de Roys qui l’avait cachée, après avoir vu une émission sur les américains recherchant leurs familles d’accueil pendant la guerre. Elle réussit à leur faire obtenir la médaille des Justes et les deux familles sont aujourd’hui très proches. Les personnes reconnues comme « Justes parmi les Nations » reçoivent une médaille spécialement frappée à leur nom et un diplôme d’honneur. Elles ont, en outre, leurs noms gravés sur le Mur d’honneur dans le jardin des Justes de Yad Vashem à Jérusalem.
Madame Zytomirski née Kaszemacher, avait 3 ans quand son beau-frère vient la chercher pour quitter sa famille. Elle est emmenée en Auvergne pour fuir la guerre et change complètement d’identité. Elle est jeune, a peur, et ses conditions de vie sont compliquées.
Pourtant, durant ces années, cachée dans cette nouvelle famille, elle n’est pas malheureuse, même si personne ne vient la voir. Cependant, un jour, on lui annonce que son père va venir la chercher et elle apprend par la même occasion que sa mère est décédée. La jeune fille ne veut pas partir mais lorsque son père vient la chercher, elle est bien obligée de le suivre. De retour à la capitale, leur logement ne leur appartient plus, certaines personnes ayant profité de la fuite massive des juifs de Paris pour voler des maisons, des appartements ou des œuvres d’art.
Elle a un nouveau frère, une nouvelle famille avec laquelle elle n’a presque aucun souvenir. Elle continue néanmoins sa vie et va à l’école.
Plus tard, elle est reconnue pupille de la nation, une qualification destinée aux enfants dont un des parents a été blessé ou tué lors de la guerre.
Ce n’est que bien des années plus tard, que madame Zytomirski retrouve la famille qui l’avait hébergée pendant la guerre. Les retrouvailles, d’abord au téléphone puis en personne, sont très émouvantes. Au terme de plusieurs mois de collecte d’informations, elle réussit à leur faire obtenir, la médaille des Justes, un important symbole.
Lire la suite de l’article rédigée par Joséphine Dreyfuss dans le dernier numéro de l’Hector curieux.
Découvrez sur le site du lycée le remarquable film documentaire « être enfant et survivre » réalisé par Raphaël Lipowicz, 2nde1 dans le cadre de la conférence-témoignage et présenté au Concours National de la Résistance et de la Déportation.
Bravo et merci à Joséphine Dreyfuss et à Raphaël Lipowicz pour leur engagement citoyen ainsi que leurs productions écrite et vidéo.
Découvrez le remarquable film documentaire « être enfant et survivre » réalisé par Raphaël Lipowicz, 2nde1 dans le cadre de la conférence-témoignage et présenté au Concours National de la Résistance et de la Déportation.
Bravo et merci à Joséphine Dreyfuss et à Raphaël Lipowicz pour leur engagement citoyen ainsi que leurs productions écrite et vidéo.
Action égalité filles/garçons et journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
Dans le cadre de l’action égalité filles/garçons et la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, la compagnie ES3-THEATRE est intervenu à la cité scolaire auprès de trois classes à travers un atelier création et une représentation de théâtre. L’intervention a été filmée par les journalistes de FranceInfo.
Voici les liens de la vidéo sur les réseaux sociaux :
Instagram : https://www.instagram.com/franceinfo/
Facebook : https://www.facebook.com/franceinfo
Tik Tok : https://www.tiktok.com/@franceinfo?lang=fr
Yes We Code!
Cette action vise à susciter chez les élèves des parcours d’orientation scientifiques et technologiques ambitieux en découvrant les métiers de la programmation et du numérique. Yes, we code permet d’inscrire les élèves dans la démarche de projet et contribue également à la promotion des parcours scientifiques féminins.
Des projets pédagogiques seront menés tout au long de l’année scolaire permettant ainsi de découvrir les enseignements de spécialité Numérique et Sciences Informatiques (NSI) ainsi que Sciences de l’Ingénieur (SI).
Une action du parcours avenir et du programme égalité fille/garçon.
Année 2020-2021
Classe à PAC en Seconde
Le but est de faire découvrir aux élèves de seconde la programmation du nouveau Théâtre de Montreuil ainsi que les métiers liés au théâtre. Ils pourront alors rencontrer les artistes et exercer son sens critique à travers des débats autour de leurs créations.
Viviane Point
Concours de plaidoiries au lycée
Ce concours a pour objectifs de s’entraîner à la prise de parole orale, développer les qualités argumentatives et oratoires à travers des supports variés, travailler la posture et la voix à travers des techniques théâtrales et préparer au concours du Mémorial de Caen. Organisé par Viviane Point.
Journal lycéen L’Hector Curieux
Il s’agit d’un club au lycée qui réalise la publication du journal l’Hector Curieux sur la base de 3 numéros de 12 pages par an. La ligne éditoriale du journal est culturelle. Ce projet permet aux membres du journal de rencontrer des élèves de tous les niveaux et de développer des qualités d’écriture, d’organisation et de communication. Sur un plan plus général, il permet de créer un sentiment d’appartenance pour l’ensemble des élèves du lycée.
Retrouvez sur ce site, la page de ce journal.
Mme Gruyelle
Lycéens au cinéma au lycée
Il s’agira d’accompagner dans le dispositif « Lycéens au cinéma » une classe d’élèves de Seconde et ce, afin de construire des ponts entre l’enseignement du français et le cinéma, conforter la place des arts et de la culture et ouvrir le regard des lycéens sur le monde contemporain.
Les objectifs sont :
- d’aider chaque lycéen à forger son regard critique sur des œuvres cinématographiques.
- de réfléchir aux sens d’œuvres qui questionnent le monde passé et contemporain : qu’est-ce qu’un film a à nous « dire » du passé et du présent ? Quel rapport un film entretient-il avec l’Histoire du Monde et celle de son art, l’Histoire du cinéma ? Comment procèdent des fictions pour nous divertir et nous émouvoir ? Dans quels buts ?
- de produire un padlet de textes critiques d’élèves autour des films vus et des thématiques explorées.
Mme Cabessa, M. Hervé
Participation au jeu-concours The Big Challenge
Le concours « The Big Challenge », organisé à l’échelle nationale, est un événement motivant pour nos élèves. Il permet aux élèves de s’investir davantage, de travailler l’anglais d’une manière différente, ludique, et de gagner en autonomie, puisqu’ils ont la possibilité de s’entraîner sur le site du concours tout au long de l’année. Ils développent ainsi leurs compétences, à l’écrit et à l’oral.
Bérangère Bleunven
Projets STMG
- Les sorties à la cité judiciaire de Paris permettent aux élèves de concrétiser le cours de droit (nouvelle matière pour eux en classe de 1ère). Ils assistent à des audiences en correctionnelles, et doivent prendre des notes afin d’en restituer le contenu après la sortie. Ils ont aussi à schématiser une salle d’audience afin de repérer les différents métiers qui participent à un procès.
- Les sorties au salon du Made In France (MIF) permettent aux élèves d’aller voir des entreprises, d’interroger les exposants. Le but est ici de donner plus de sens à la notion d’entreprise (en économie) et de façon très concrète de répondre à une question de fond en MDO (Management Des Organisations), à savoir caractériser une entreprise/organisation, dégager ses forces et ses faiblesses éventuelles. Ils ont d’ailleurs un dossier à réaliser lors de cette sortie.
- C’est dans le même esprit que l’association 100 000 entreprises intervient dans les cours de MDO, ou d’économie. Chaque intervenant est un entrepreneur qui présente les raisons, les risques….liés à la création d’entreprise. Leur participation se fait soit dans le lycée, soit lors de manifestations organisées par l’association dans une entreprise autour des métiers d’une branche d’activité (la banque) ou sur les femmes entrepreneuses (dans le cadre de la journée de la femme). Les élèves doivent ici encore restituer le contenu des présentations à l’écrit et à l’oral.