Projets au lycée





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Projets STMG

  • Les sorties à la cité judiciaire de Paris permettent aux élèves  de concrétiser le cours de droit (nouvelle matière pour eux en classe de 1ère). Ils assistent à des audiences en correctionnelles, et doivent prendre des notes afin d’en restituer le contenu après la sortie. Ils ont aussi à schématiser une salle d’audience afin de repérer les différents métiers qui participent à un procès.
  • Les sorties au salon du Made In France (MIF) permettent aux élèves d’aller voir des entreprises, d’interroger les exposants. Le but est ici de donner plus de sens à la notion d’entreprise (en économie) et de façon très concrète  de répondre à une question de fond en MDO (Management Des Organisations), à savoir caractériser une entreprise/organisation, dégager ses forces et ses faiblesses éventuelles. Ils ont d’ailleurs un dossier à réaliser lors de cette sortie.
  • C’est dans le même esprit que l’association 100 000 entreprises intervient dans les cours de MDO, ou d’économie. Chaque intervenant est un entrepreneur qui présente les raisons, les risques….liés à la création d’entreprise. Leur participation se fait soit dans le lycée, soit lors de manifestations organisées par l’association dans une entreprise autour des métiers d’une branche d’activité (la banque) ou sur les femmes entrepreneuses (dans le cadre de la journée de la femme). Les élèves doivent ici encore restituer le contenu des présentations à l’écrit  et à l’oral.

Année 2023-2024

Les élèves 2nde7 à l’HIA Bégin

Les élèves de 2nde7 ont été accueillis par le général Hamon à l’HIA Bégin le 24 avril 2024 dans le cadre du programme de la Classe Défense Sécurité Globale.
En place d’armes, les Berlioziens ont assisté à la cérémonie des couleurs puis ont découvert les métiers du service de santé des armées à partir de conférences. Infirmier, médecin, anesthésiste-réanimateur… ont témoigné de leur parcours d’études et de leur engagement au service des militaire et des civils en France et en opérations extérieures.

Une sortie pédagogique qui permet d’enrichir le parcours avenir des élèves, de développer l’esprit et l’engagement citoyen.
Une nouvelle journée à l’HIA Bégin est programmée le 16 mai prochain afin de rencontrer de nouveaux médecins militaires, de participer à des ateliers avec des membres du service de santé des armées et de découvrir le patrimoine historique de l’hôpital militaire – site remarquable, voisin de notre cité scolaire.

Être et survivre enfant

Des témoignages émouvants pour une mémoire et une citoyenneté éclairées

Il y a déjà quelques semaines, à l’initiative de Monsieur Krouck, professeur d’histoire géographie, les élèves de trois classes de seconde ont eu la chance de rencontrer Mme Jeannette Dreyfuss et de Mme Jacqueline Zytomirski, grands-mères d’élèves de Berlioz. Les deux femmes ont partagé leurs vies d’enfants cachés durant la Seconde Guerre mondiale, où la délation pouvait les envoyer dans les camps de la mort.

Des témoignages émouvants pour une mémoire et une citoyenneté éclairées

Il y a déjà quelques semaines, à l’initiative de Monsieur Krouck, professeur d’histoire géographie, les élèves de trois classes de seconde ont eu la chance de rencontrer Mme Jeannette Dreyfuss et de Mme Jacqueline Zytomirski, grands-mères d’élèves de Berlioz. Les deux femmes ont partagé leurs vies d’enfants cachés durant la Seconde Guerre mondiale, où la délation pouvait les envoyer dans les camps de la mort.

Madame Dreyfuss (Sztrumpfman) est née dans une famille immigrée polonaise en 1936. En 1939, elle habite avec ses parents dans le vingtième arrondissement de Paris, quand la guerre éclate. Avec l’aide de son père, Simon Sztrumpfman, elle échappe à une arrestations massive de Juifs ordonnée par le pouvoir nazi, la rafle du Vel D’ hiv du 15 juillet 1942.
Alors que Jeannette n’a que 5 ans, elle quitte son appartement avec sa famille. Elle se retrouve placée chez une nourrice, à Montfermeil, sans nouvelles de ses parents. Elle se croit alors totalement abandonnée durant tout l’été 1942. Ses parents la feront rentrer en octobre dans un pensionnat à Versailles : l’institut Notre Dame. Elle change alors de nom,prend celui de son oncle par alliance et s’appelle désormais Jeannette Jouriste. Elle y est baptisée et vit dès lors dans le pensionnat, ce qui n’était normalement pas possible pour son âge, l’internat ne commençant qu’à partir de 8 ans. Elle reste donc semaines et week-end au pensionnat avec certaines institutrices. 
Quelquefois, son père lui rend visite mais elle doit faire attention à ne pas l’appeler « papa », au risque de se faire démasquer. En effet, c’est lui qui avait inscrit la jeune Jeannette et l’avait présentée comme étant sa nièce. Le 6 mai 1943, elle doit se faire opérer de l’appendicite dans une clinique à Versailles. Sa mère, qui était alors cachée dans le château de Saint-Ange, à Villecerf, et sa tante viennent la chercher et l’amènent avec elles chez la famille de Roys. Pour rallier sa nouvelle cachette, elles empruntent le métro parisien avec Jeannette en poussette, et sont alors aidées par de jeunes soldats allemands pour descendre les marches de ses longs escaliers. Ceux-ci, tout joyeux, ne se rendent pas compte que les deux femmes sont terrorisées à l’idée d’être découvertes.
Jeannette reste cachée au château jusqu’à la fin de la guerre avec sa mère, surnommée Midia, gouvernante des enfants. Le Marquis de Roys lui fournit des faux papiers au nom de Georgette Marchal. Jeannette participant avec les enfants aux cours et aux jeux, elle était pratiquement « adoptée » par la famille. Pour eux, les jours s’écoulaient agréablement au château.
Le 3 août 1944, des soldats allemands se présentèrent au château. Jeannette et Béatrice, qui jouaient dans le parc, les virent arriver avec un chien. Ils demandaient le Marquis qu’ils ne purent trouver. Il était, en effet, chef de la Résistance du sud et marnais. Il recevait des armes venues d’Angleterre et avait été dénoncé. Le marquis René de Roys, malgré les avertissements, n’avait pas voulu fuir et était resté au château, prenant le risque de se faire arrêter plutôt que de faire courir un danger à sa famille et aux personnes hébergées. Le soir même, les allemands revinrent pour l’arrêter. Le Marquis de Roys fut déporté au camp de Buchenwald et meurt le 18 janvier 1945.
Lorsque les alliés libèrent la ville en 1944, Jeannette et sa mère rentrent à Paris. Malheureusement, son père, Simon Sztrumpfman, lui aussi dans la Résistance, avait été arrêté à Lyon, au printemps 1944. Il aurait été fusillé. Il est possible que le Marquis et son père se soient rencontrés en « résistance ». 
Quand elles rentrent à la capitale, leur appartement ne leur appartient plus. Elles vivent donc dans un autre petit appartement jusqu’à ce que la mère de Jeannette réussisse à récupérer l’ancien. Cette histoire, Madame Dreyfuss l’a gardée pour elle pendant près de 50 ans.  
Ce n’est que bien plus tard, en 1994, qu’elle retrouvera la famille de Roys qui l’avait cachée, après avoir vu une émission sur les américains recherchant leurs familles d’accueil pendant la guerre. Elle réussit à leur faire obtenir la médaille des Justes et les deux familles sont aujourd’hui très proches. Les personnes reconnues comme « Justes parmi les Nations » reçoivent une médaille spécialement frappée à leur nom et un diplôme d’honneur. Elles ont, en outre, leurs noms gravés sur le Mur d’honneur dans le jardin des Justes de Yad Vashem à Jérusalem.
Madame Zytomirski née Kaszemacher, avait 3 ans quand son beau-frère vient la chercher pour quitter sa famille. Elle est emmenée en Auvergne pour fuir la guerre et change complètement d’identité. Elle est jeune, a peur, et ses conditions de vie  sont compliquées.
Pourtant, durant ces années, cachée dans cette nouvelle famille, elle n’est pas malheureuse, même si personne ne vient la voir. Cependant, un jour, on lui annonce que son père va venir la chercher et elle apprend par la même occasion que sa mère est décédée. La jeune fille ne veut pas partir mais lorsque son père vient la chercher, elle est bien obligée de le suivre. De retour à la capitale, leur logement ne leur appartient plus, certaines personnes ayant profité de la fuite massive des juifs de Paris pour voler des maisons, des appartements ou des œuvres d’art. 
Elle a un nouveau frère, une nouvelle famille avec laquelle elle n’a presque aucun souvenir. Elle continue néanmoins sa vie et va à l’école.
Plus tard, elle est reconnue pupille de la nation, une qualification destinée aux enfants dont un des parents a été blessé ou tué lors de la guerre. 
Ce n’est que bien des années plus tard, que madame Zytomirski retrouve la famille qui l’avait hébergée pendant la guerre. Les retrouvailles, d’abord au téléphone puis en personne, sont très émouvantes. Au terme de plusieurs mois de collecte d’informations, elle réussit à leur faire obtenir, la médaille des Justes, un important symbole.

Lire la suite de l’article rédigée par Joséphine Dreyfuss dans le dernier numéro de l’Hector curieux.

Découvrez sur le site du lycée le remarquable film documentaire « être enfant et survivre » réalisé par Raphaël Lipowicz, 2nde1 dans le cadre de la conférence-témoignage et présenté au Concours National de la Résistance et de la Déportation.

Bravo et merci à Joséphine Dreyfuss et à Raphaël Lipowicz pour leur engagement citoyen ainsi que leurs productions écrite et vidéo.

Découvrez le remarquable film documentaire « être enfant et survivre » réalisé par Raphaël Lipowicz, 2nde1 dans le cadre de la conférence-témoignage et présenté au Concours National de la Résistance et de la Déportation.
Bravo et merci à Joséphine Dreyfuss et à Raphaël Lipowicz pour leur engagement citoyen ainsi que leurs productions écrite et vidéo.

Action égalité filles/garçons et journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes

Dans le cadre de l’action égalité filles/garçons et la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, la compagnie ES3-THEATRE est intervenu à la cité scolaire auprès de trois classes à travers un atelier création et une représentation de théâtre. L’intervention a été filmée par les journalistes de FranceInfo.
Voici les liens de la vidéo sur les réseaux sociaux :
Instagram : https://www.instagram.com/franceinfo/
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Yes We Code!
Logo de Yes We Code!

En partenariat avec la , les élèves de 2nde13 ont bénéficié mercredi 15 novembre 2023 d’une séance de sensibilisation au codage et à la programmation dans le cadre du programme des Sciences Numériques et Technologies (SNT).

Cette action vise à susciter chez les élèves des parcours d’orientation scientifiques et technologiques ambitieux en découvrant les métiers de la programmation et du numérique. Yes, we code permet d’inscrire les élèves dans la démarche de projet et contribue également à la promotion des parcours scientifiques féminins.
Des projets pédagogiques seront menés tout au long de l’année scolaire permettant ainsi de découvrir les enseignements de spécialité Numérique et Sciences Informatiques (NSI) ainsi que Sciences de l’Ingénieur (SI).
Une action du parcours avenir et du programme égalité fille/garçon.

Année 2020-2021

Classe à PAC en Seconde

Le but est de faire découvrir aux élèves de seconde la programmation du nouveau Théâtre de Montreuil ainsi que les métiers liés au théâtre. Ils pourront alors rencontrer les artistes et exercer son sens critique à travers des débats autour de leurs créations.

Viviane Point

Concours de plaidoiries au lycée

Ce concours a pour objectifs de s’entraîner à la prise de parole orale, développer les qualités argumentatives et oratoires à travers des supports variés, travailler la posture et la voix à travers des techniques théâtrales et préparer au concours du Mémorial de Caen. Organisé par Viviane Point.

Journal lycéen L’Hector Curieux

Il s’agit d’un club au lycée qui réalise la publication du journal l’Hector Curieux sur la base de 3 numéros de 12 pages par an. La ligne éditoriale du journal est culturelle. Ce projet permet aux membres du journal de rencontrer des élèves de tous les niveaux et de développer des qualités d’écriture, d’organisation et de communication. Sur un plan plus général, il permet de créer un sentiment d’appartenance pour l’ensemble des élèves du lycée.
Retrouvez sur ce site, la page de ce journal.

Mme Gruyelle

Lycéens au cinéma au lycée

Il s’agira d’accompagner dans le dispositif « Lycéens au cinéma » une classe d’élèves de Seconde et ce, afin de construire des ponts entre l’enseignement du français et le cinéma, conforter la place des arts et de la culture et ouvrir le regard des lycéens sur le monde contemporain.

Les objectifs sont :

  • d’aider chaque lycéen à forger son regard critique sur des œuvres cinématographiques.
  • de réfléchir aux sens d’œuvres qui questionnent le monde passé et contemporain : qu’est-ce qu’un film a à nous « dire » du passé et du présent ? Quel rapport un film entretient-il avec l’Histoire du Monde et celle de son art, l’Histoire du cinéma ? Comment procèdent des fictions pour nous divertir et nous émouvoir ? Dans quels buts ?
  • de produire un padlet de textes critiques d’élèves autour des films vus et des thématiques explorées.

Mme Cabessa, M. Hervé

Participation au jeu-concours The Big Challenge

Le concours « The Big Challenge », organisé à l’échelle nationale, est un événement motivant pour nos élèves. Il permet aux élèves de s’investir davantage, de travailler l’anglais d’une manière différente, ludique, et de gagner en autonomie, puisqu’ils ont la possibilité de s’entraîner sur le site du concours tout au long de l’année. Ils développent ainsi leurs compétences, à l’écrit et à l’oral.

Bérangère Bleunven

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